L'histoire se répétais aujourd'hui comme elle s'était passé il y a longtemps, dans les mêmes circonstances.
Assis a la taverne, au fond sur la table la plus isolée, un homme portant une peau de loup était entouré de 3 jeunes enfants, l'homme parlait a voix basse, racontant le réçit d'un jeune disciple de sacrieur, je ne me souvient plus très bien, c'était il y a si longtemps ... Le début de l'histoire m'est flou, voilà ce dont je me souvient.
<< Ceci n'étais pas très clair dans mon esprit a l'époque, mais maintenant je comprend. Peut de temps après, quelques minutes même, l'homme c'est levé, j'ai cru appercevoir une queue, comme celle des anciens disciples d'Ecaflip, qui désormais n'en ont plus ... Cette histoire c'est passé, il y a de ca 140 ans ...
Je me souvient aussi d'une lettre, l'homme encapuchonné l'avait laissé tombé de sa poche, je crois que ... Oui, je l'ai conservée, voilà exactement ce qui était noté sur ce morceau de parchemin ...
La fin de la signature est effacé ... >>
Les 3 personnes autours de notre homme en restèrent bouches bées, comment un homme qui paraissait si vieu a présent, pouvait il se rappeller de tout cela ? Et pourquoi avait il garder cette lettre, qui ne voulait rien dire de spécial ?
<< J'ai la réponse a votre question, cette lettre pour est pour moi d'une grande importance ... Je suis --Overdead--, possesseur du corps de Nob. Je suis le fils de l'homme encapuchonné et je me tient devant vous comme il se tenais devant les 3 enfants il y a 140 ans aujourd'hui même. Vous, descendants des grands membres de Andjaul and Co, la guilde tant renommée et tant aimée par mon père, je vous demande de bien vouloir reprendre dans vos rangs Nob, dont le cercle n'a pas bougé et dont l'élément est celui de la terre. L'avenir de ce petit sacrieur ne dépend que de vous.>>
Sur ces quelques phrases, --Overdead-- S'éloigna vers de nouvelles contrées, attendant le tofu voyageur qui le préviendrais de la décision des membres du conseil de Andjaul And Co.
Ps : Il parait même que le vieil homme dansais la tecktonik, et quand il méttait son bras gauche devant son front, on lisait : Quand, Le bras droit : Y en a marre y a, Et quand il enlevait tout, on lisait khalabar, voila une photo :